L’âge définit souvent la mentalité dit-on… Cette vérité populaire aura-t-elle sa raison d’être dans le monde de l’immobilier ? Certes, il y aura toujours une différence entre un jeune débutant d’une vingtaine d’années et un homme d’affaires chevronné de quarante ans. Cela ne veut pas pour autant dire que l’âge influe sur la manière de décider un prix.
Vous êtes jeunes ? Osez quand même
L’esprit est souvent forgé par l’éducation qu’elle reçoit. Vous pourrez avoir peur d’investir et surtout, directement dans l’immobilier. Mais au fond, pourquoi pas ? Vous êtes jeunes, pleines d’énergie, vous avez en vous la possibilité de changer le monde. Canalisez donc tout cela dans vos instincts d’homme d’affaires. Plusieurs possibilités s’offrent à vous, la loi PINEL, l’investissement en SCPI. C’est sur qu’à vingt-cinq ans, vous n’aurez sans doute pas la somme nécessaire pour vous procurer une résidence. Vous aurez cependant un contrat de travail en CDI, ou une économie de dix mille euros. Utilisez-les à vos avantages. Effectuez un prêt bancaire ou bien achetez une part de marché dans une société civile de placement immobilier. Vous aurez à cet effet un patrimoine immobilier, sources de revenus stables, et ce, au plus tôt de votre vie.
Au-delà des quadragénaires
Si vous avez atteint les quarante ans, vous aurez le privilège d’avoir mûri en prise de décisions. Vous saurez inspirer l’assurance à votre entourage. Mettez cela à profit, utilisez votre capacité d’endettement à son maximum. Cela ne semble cependant pas intéressant que si vous êtes un locataire ayant envie de vous procurer un bien immobilier. Les personnes prises en service de logement par leur entreprise pourront aussi jouir d’un investissement locatif. À cinquante ans, la question doit se poser. Pourquoi ? Vous ne pourrez plus risquer de perdre bien qu’à cet âge, vous n’aurez plus beaucoup de charges dans votre foyer. Vous aurez alors un revenu bien important par rapport aux classes d’âges en dessous de vous. Au final, la différence entre ces différents types de personnes réside dans leur capacité à rembourser un prêt. Il est évident que les banques seront réticentes à l’idée de prêter à un jeune de vingt-six ans qu’à un de trente ans. Ne prenez pas cela en compte, foncez si vous en avez les moyens.